Ces vins appartiennent à une nouvelle famille de vins qui nous a semblée indispensable à Cascavel pour être en accord avec les attentes des passionnés des vins de la région.
Présentation
Présentation
Notre Châteauneuf-du-Pape Les Terroirs des Papes est le résultat d’une recherche assidue à la fois d’un vigneron avec qui nous pourrions bien nous entendre, et bien sûr de vins qui nous plaisent. L’un n’allant pas sans l’autre, nous furent charmés de découvrir que notre vigneron est une vigneronne, Hélène de son prénom ; entourée d’une équipe toute féminine. L’accueil à la propriété est à l’image du chai, net et fonctionnel, alors qu’un jardin méditerranéen extérieur soigné démontre un fort sens du détail. Les vins produits sont à l’image de la première idée que l’on peut se faire en arrivant au domaine : précis, fins, élégants et biens faits.
Le millésime
Les fermentations se sont plutôt mieux déroulées cette année, malgré quelques situations plus languissantes (raisins vendangés aux heures chaudes mi-septembre, grenaches à fort degré). Les peaux épaisses du grenache rendaient nécessaires le foulage et les délestages afin de limiter les relargages de sucres en fin de macération.
Les vins s’orientent vers des profils moins puissants qu’en 2019, avec beaucoup d’élégance et de fraîcheur, et des nez très aromatiques. En matière d'intensité colorante, tout particulièrement pour les grenaches, malgré les craintes avant récolte, celle ci sera finalement plus affirmée et violine cette année.
La particularité de ce millésime est la production de vins presque aboutis très tôt dans la vinification. Cela se confirme après décuvage, notamment sur syrah et mourvèdre, cépages plus austères en cette période d’habitude.
les vins ont finalement bénéficiés du coup d'un temps d'élevage plus long avant de travailler les assemblages.
Les vins s’orientent vers des profils moins puissants qu’en 2019, avec beaucoup d’élégance et de fraîcheur, et des nez très aromatiques. En matière d'intensité colorante, tout particulièrement pour les grenaches, malgré les craintes avant récolte, celle ci sera finalement plus affirmée et violine cette année.
La particularité de ce millésime est la production de vins presque aboutis très tôt dans la vinification. Cela se confirme après décuvage, notamment sur syrah et mourvèdre, cépages plus austères en cette période d’habitude.
les vins ont finalement bénéficiés du coup d'un temps d'élevage plus long avant de travailler les assemblages.
Situation
Les parcelles sont réparties sur la partie est de l’appellation, présentant à la fois des argiles rouges, des sables compactés, des grès, et des parcelles où prédominent les galets roulés. Chaque parcelle apporte sa part de complexité. Ce côté de l’appellation est connu pour produire des vins complexes, élégants et raffinés.
Terroir
Les parcelles de galets roulés sont particulièrement drainantes et les vignes sont assez âgées. Le soleil emmagasiné durant la journée rayonne la nuit, créant des conditions de maturités exceptionnelles. Les parcelles les plus jeunes sont sur des argiles rouges, ou des sables compactés plus drainant que les argiles. Tout comme les cépages, les parcelles se complètent bien et produisent des raisins et des vins de grande qualité ; tout en finesse.
A la vigne
La surface des parcelles est de 9 hectares. Les sols sont à base d'argiles rouges, de grès, de galets roulés ainsi que de terrasses de sables compactés. L'exposition est orientée Est, Sud-est. L'altitude des parcelles oscille entre 80 à 150 m.
Vinification
Égrappage à réception, macération trois semaines à un mois sans levurage, pigeage et remontage, pas de collage.
Elevage
Élevage cuve béton en partie, en demi-muids pour 25% du volume durant 12 à 15 mois. Assemblage et élevage en bouteille 6 mois.
Cépages
Grenache noir : 80%
Syrah : 15%
Mourvèdre : 5%
Syrah : 15%
Mourvèdre : 5%
Spécifications
Teneur en alcool: 14.5 % vol.
Volume de production: 4500
Superficie du vignoble: 9 ha
Rendement: 27 hL/ha
Age moyen des vignes: 60 ans
Allergènes: Contient des sulfites.



Conseils
Service
Servir à 17°c.
Potentiel de garde
5 à 10 ans
Dégustation
Un beau Châteauneuf du Pape tout en élégance, savoureux à souhait.
Aspect visuel
Ce Châteauneuf du Pape présente une Robe rouge rubis léger, reflets bleutés.
Au nez
Le vin, très droit, se caractérise par un nez intense de fruits noirs mûrs et d'épices.
En bouche
La bouche est franche en entame, présente une joli fruit et une belle sucrosité. Le volume est moyen à dense, étoffé par une sensation veloutée remarquable. Les tanins sont fins et bien intégrés. Un fruité domine, avec des notes plus réglissées apparaissant par la suite. Un e pointe de piment en finale dynamise la fin de la dégustation.
Accords gourmands
Canard à l'orange et gigot d'agneau, fromages à pate fraiches, desserts subtilement marqués aux arômes de chocolat.
Recettes
Le ragoût de truffes au vin rouge pour accompagner vos viandes
Ingrédients :
Croûtes :
1 pain de mie moulé de texture ferme et compacte mi-rassis
125 g de beurre (environ)
1 gousse d’ail
Sauce mirepoix :
1 oignon de 60 g
1 carotte de 60 g sel
1 pincée d’herbes (thym, origan, sarriette, plus un fragment de laurier émietté)
20 g de beurre
1 cuillerée rase de farine
1 bonne demi-bouteille (environ 4 dl) de bon vin rouge jeune coloré tannique
2,5 dl de fonds riche concentré gélatineux
5 belles truffes fraîches (250 - 300 g) brossées, lavées, séchées
1 gousse d’ail
80 g de beurre
1 cuillerée de Fine Champagne ou de bon Armagnac
Poivre du moulin et sel
Préparation :
Épluchez l’oignon et la carotte, hachez-les finement, faites-les étuver au beurre, après les avoir salés et saupoudrés d’herbes, dans une petite casserole épaisse, de préférence en cuivre, pendant une demi-heure, en les tournant de temps en temps, et sans les laisser colorer.
Ajoutez la farine, laissez cuire encore une minute, puis ajoutez le vin rouge, d’abord peu à la fois, en tournant constamment.
Amenez à l’ébullition, toujours en tournant, sur une flamme vive ; puis baissez beaucoup le feu et laissez, à couvert et à petit frémissement, pendant 30 à 40 minutes.
Passez cette sauce au petit chinois ou à la passoire fine, en appuyant assez pour que le jus de la mirepoix soit exprimé mais sans laisser passer les légumes en purée.
Remettez le liquide recueilli dans la casserole, ajoutez le fonds et laissez cuire, cette fois à découvert, toujours à tout petit feu, pendant une bonne heure, en dépouillant la sauce régulièrement (enlevez la peau qui se forme sur la surface en la tirant doucement vers la paroi de la casserole avec une cuillère).
Il doit vous rester environ 2,5 dl de sauce à peine liée.
Pendant ce temps, préparez les croûtes :
A l’aide d’un couteau à pain bien tranchant, retirez les croûtes du pain de mie ; coupez 4 tranches de 1 cm 1/2 d’épaisseur qui serviront de couvercles aux caissettes que vous façonnerez avec le pain restant. Coupez 4 autres tranches d’environ 5 cm d’épaisseur.
Creusez l’intérieur de ces grosses tranches, en laissant une épaisseur de 1 cm 1/2 tout autour et au fond pour constituer les parois des caissettes.
Badigeonnez les couvercles et les caissettes, à l’intérieur et à l’extérieur de beurre fondu, mettez-les à four doux, sur une plaque ou dans une poêle, avec un peu de beurre fondu au fond, pour les dessécher et les dorer, en les retournant de temps en temps.
Si, une fois relativement sèches et fermes, elles n’ont pas pris de couleur, augmentez la chaleur du four et surveillez-les de près en les tournant souvent dans tous les sens, jusqu’à ce qu’elles soient également dorées de tous les côtés.
Gardez-les au chaud.
Vous pouvez remplacer du pain de mie par des croûtes en pâte façon bouchée à la reine
Les Truffes :
Frottez bien le fond et les parois d’un poêlon en terre avec la gousse d’ail. N’y laissez pas de miettes d’ail.
Laissez sécher pendant quelques minutes, puis beurrez grassement le fond du poêlon (30 g de beurre environ).
Pelez les truffes et coupez-les en gros morceaux (1 truffe de 60 g en 8 à 10 morceaux).
Mettez les pelures de côté et les morceaux dans le poêlon. Aspergez, sans excès, de cognac (ou d’armagnac), salez très peu (si le fonds a été salé à point, la sauce sera déjà suffisamment salée, après la réduction qu’elle a subie), poivrez généreusement, et mettez le poêlon, bien couvert, au chaud sur une plaque tiède (ou sur une plaque d’amiante posée sur une flamme minuscule, ou dans les cendres chaudes, mais éteintes) pendant environ 20 minutes : il ne s’agit pas d’une cuisson : l’essence de la truffe est libéré par cette douce chaleur et renforcée en se mêlant aux autres parfums.
Pilez finement au mortier les pelures de truffes, ajoutez-les à la sauce (ne dépouillez plus), laissez mijoter l’ensemble encore 3 ou 4 minutes, versez la sauce bouillante sur les truffes, couvrez de nouveau le poêlon, et laissez infuser quelques minutes à petite chaleur sans que cela atteigne l’ébullition.
Frottez très légèrement d’ail (juste une caresse ici et là) les cassettes et leurs couvercles, sortez les truffes de la sauce à l’aide d’une cuillère et remplissez-en les caisses.
Ajoutez à la sauce le reste de beurre (50 g) coupé en petits morceaux et tournez le poêlon dans tous les sens, en lui donnant un mouvement de rotation ondulant, jusqu’à ce que le beurre noix absorbé ; puis versez la sauce sur les truffes.
Mettez les couvercles. Il est préférable de servir les caissettes directement sur les assiettes chaudes des convives afin de ne perdre ni de la sauce ni de la chaleur.
Pour un service élégant, il faut évidemment prendre soin de ne pas trop remplir les caissettes de sauce : on les présente sur une serviette pliée, et l’on sert le reste de la sauce à part dans une saucière, préalablement chauffée. [+]